Une nouvelle année démarre et une humeur toujours maussade à l’image de la météo résume vos billets d’humeur du mois de janvier 2025. Pour autant de jolies notes positives sont à mettre en avant.
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Les congés de Noel ont fait du bien et ont permis de déconnecter du travail et de se ressourcer en famille.
Le stress de l’attente du renouvellement d’agrément qui au final se passe très bien avec une puéricultrice à l’écoute, bienveillante, respectueuse du rythme des enfants et qui valide le renouvellement et une quatrième place d’accueil. Une semaine qui débute parfaitement.
Un nouveau contrat trouvé qui signe la fin de plusieurs mois de galère sans accueil.
La joie de retrouver les bambins avec un “je t’aime, Nounou”.
Des réflexions enfantines qui mettent de la joie et de la bonne humeur dans le quotidien de la journée.
Savoir que FO défendra l’abrogation de la réforme des retraites.
Excitation de la reprise après 5 mois sans contrat de travail, période de pause qui aura été bénéfique pour apprendre à prendre soin de soi.
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Le manque de travail qui déprime : entre frustration et inquiétude. Constat que de nombreuses régions sont impactées et dans le même temps de nouvelles micro crèches qui ouvrent et des assistants maternels qui peinent à remplir leurs capacités d’accueil. Des municipalités qui agrandissent leurs crèches municipales. Des demandes d’accueil avec peu d’heures et des parents qui annoncent qu’ils ont fait une demande d’accueil en crèche collective donnant le sentiment à l’assistant maternel d’être utilisé comme “bouche-trou”.
Les parents qui n’informent pas totalement du fait que leur enfant est en petite forme. Des parents en retard qui ne préviennent pas et qui ne s’excusent pas.
Le stress du renouvellement d’agrément.
Un contrat signé et rompu le lendemain après quelques heures de familiarisation.
En arrêt et licenciée par tous les employeurs. En arrêt, une assistante maternelle qui offre un cadeau de Noel à son accueillie et qui ne reçoit aucun merci en retour, résultat aucune envie de reprendre le travail.
Lassitude face aux salaires impayés : qu’attend le gouvernement pour s’occuper du problème ?
Les assistants maternels qui diffusent de mauvaises informations sur le métier en ne mettant pas ces dernières à jour. Une surconsommation d’activités manuelles sur des sites d’assistants maternels.
Un sevrage d’allaitement très compliqué qui rend difficile la journée de travail.
Le constat toujours mis en avant du manque de reconnaissance des professionnels qui pourtant font et donnent beaucoup pour les enfants accueillis et leurs parents.
